La maison de Sylvie était comme (A3) ... bout du monde car derrière le jardin commençait déjà la forêt. On était dans (A4) ... premiers jours du mois (A5) ... mai. Dans certains jardins, des jonquilles se pressaient au pied des arbres fruitiers et les bouleaux s'étaient couverts de vert tendre. Mais qu'est-ce qui permettait (A6) ... la végétation de jaillir de la terre sèche dès qu'il se mettait à faire beau?

La maison de Sylvie était comme (A3) ... bout du monde car derrière le jardin commençait déjà la forêt. On était dans (A4) ... premiers jours du mois (A5) ... mai. Dans certains jardins, des jonquilles se pressaient au pied des arbres fruitiers et les bouleaux s'étaient couverts de vert tendre. Mais qu'est-ce qui permettait (A6) ... la végétation de jaillir de la terre sèche dès qu'il se mettait à faire beau?

La maison de Sylvie était comme (A3) ... bout du monde car derrière le jardin commençait déjà la forêt. On était dans (A4) ... premiers jours du mois (A5) ... mai. Dans certains jardins, des jonquilles se pressaient au pied des arbres fruitiers et les bouleaux s'étaient couverts de vert tendre. Mais qu'est-ce qui permettait (A6) ... la végétation de jaillir de la terre sèche dès qu'il se mettait à faire beau?

La maison de Sylvie était comme (A3) ... bout du monde car derrière le jardin commençait déjà la forêt. On était dans (A4) ... premiers jours du mois (A5) ... mai. Dans certains jardins, des jonquilles se pressaient au pied des arbres fruitiers et les bouleaux s'étaient couverts de vert tendre. Mais qu'est-ce qui permettait (A6) ... la végétation de jaillir de la terre sèche dès qu'il se mettait à faire beau?

Peu après, le patron me (m') (A23) ... appeler et sur le moment, j'ai été (A24) ... parce que j'ai pensé qu'il allait me dire de moins téléphoner et de mieux (A25) .... Ce n'était pas cela du tout. Il me (m') (A26) ... qu'il allait me parler d'un projet. Il voulait seulement avoir mon (A27) ... sur la question. Il avait l'intention d'installer un bureau à Paris qui traiterait ses affaires sur place, et directement, avec les grandes compagnies. Il (A28) ... savoir si j'étais disposé à y aller. Cela me permettrait de vivre à Paris et de voyager une partie de l'année. «Vous (A29) ... jeune, et il me semble que c'est une vie qui doit vous (A30) ... ». J'ai dit que oui mais que dans le fond cela me (m') (A31) ... égal. Il a eu l'air (A32) ...: il m'a dit que je répondais toujours à côté, que je n'avais pas d'ambition et que cela était désastreux dans les affaires.

Peu après, le patron me (m') (A23) ... appeler et sur le moment, j'ai été (A24) ... parce que j'ai pensé qu'il allait me dire de moins téléphoner et de mieux (A25) .... Ce n'était pas cela du tout. Il me (m') (A26) ... qu'il allait me parler d'un projet. Il voulait seulement avoir mon (A27) ... sur la question. Il avait l'intention d'installer un bureau à Paris qui traiterait ses affaires sur place, et directement, avec les grandes compagnies. Il (A28) ... savoir si j'étais disposé à y aller. Cela me permettrait de vivre à Paris et de voyager une partie de l'année. «Vous (A29) ... jeune, et il me semble que c'est une vie qui doit vous (A30) ... ». J'ai dit que oui mais que dans le fond cela me (m') (A31) ... égal. Il a eu l'air (A32) ...: il m'a dit que je répondais toujours à côté, que je n'avais pas d'ambition et que cela était désastreux dans les affaires.

Peu après, le patron me (m') (A23) ... appeler et sur le moment, j'ai été (A24) ... parce que j'ai pensé qu'il allait me dire de moins téléphoner et de mieux (A25) .... Ce n'était pas cela du tout. Il me (m') (A26) ... qu'il allait me parler d'un projet. Il voulait seulement avoir mon (A27) ... sur la question. Il avait l'intention d'installer un bureau à Paris qui traiterait ses affaires sur place, et directement, avec les grandes compagnies. Il (A28) ... savoir si j'étais disposé à y aller. Cela me permettrait de vivre à Paris et de voyager une partie de l'année. «Vous (A29) ... jeune, et il me semble que c'est une vie qui doit vous (A30) ... ». J'ai dit que oui mais que dans le fond cela me (m') (A31) ... égal. Il a eu l'air (A32) ...: il m'a dit que je répondais toujours à côté, que je n'avais pas d'ambition et que cela était désastreux dans les affaires.

Peu après, le patron me (m') (A23) ... appeler et sur le moment, j'ai été (A24) ... parce que j'ai pensé qu'il allait me dire de moins téléphoner et de mieux (A25) .... Ce n'était pas cela du tout. Il me (m') (A26) ... qu'il allait me parler d'un projet. Il voulait seulement avoir mon (A27) ... sur la question. Il avait l'intention d'installer un bureau à Paris qui traiterait ses affaires sur place, et directement, avec les grandes compagnies. Il (A28) ... savoir si j'étais disposé à y aller. Cela me permettrait de vivre à Paris et de voyager une partie de l'année. «Vous (A29) ... jeune, et il me semble que c'est une vie qui doit vous (A30) ... ». J'ai dit que oui mais que dans le fond cela me (m') (A31) ... égal. Il a eu l'air (A32) ...: il m'a dit que je répondais toujours à côté, que je n'avais pas d'ambition et que cela était désastreux dans les affaires.

Peu après, le patron me (m') (A23) ... appeler et sur le moment, j'ai été (A24) ... parce que j'ai pensé qu'il allait me dire de moins téléphoner et de mieux (A25) .... Ce n'était pas cela du tout. Il me (m') (A26) ... qu'il allait me parler d'un projet. Il voulait seulement avoir mon (A27) ... sur la question. Il avait l'intention d'installer un bureau à Paris qui traiterait ses affaires sur place, et directement, avec les grandes compagnies. Il (A28) ... savoir si j'étais disposé à y aller. Cela me permettrait de vivre à Paris et de voyager une partie de l'année. «Vous (A29) ... jeune, et il me semble que c'est une vie qui doit vous (A30) ... ». J'ai dit que oui mais que dans le fond cela me (m') (A31) ... égal. Il a eu l'air (A32) ...: il m'a dit que je répondais toujours à côté, que je n'avais pas d'ambition et que cela était désastreux dans les affaires.

Peu après, le patron me (m') (A23) ... appeler et sur le moment, j'ai été (A24) ... parce que j'ai pensé qu'il allait me dire de moins téléphoner et de mieux (A25) .... Ce n'était pas cela du tout. Il me (m') (A26) ... qu'il allait me parler d'un projet. Il voulait seulement avoir mon (A27) ... sur la question. Il avait l'intention d'installer un bureau à Paris qui traiterait ses affaires sur place, et directement, avec les grandes compagnies. Il (A28) ... savoir si j'étais disposé à y aller. Cela me permettrait de vivre à Paris et de voyager une partie de l'année. «Vous (A29) ... jeune, et il me semble que c'est une vie qui doit vous (A30) ... ». J'ai dit que oui mais que dans le fond cela me (m') (A31) ... égal. Il a eu l'air (A32) ...: il m'a dit que je répondais toujours à côté, que je n'avais pas d'ambition et que cela était désastreux dans les affaires.

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Peu après, le patron me (m') (A23) ... appeler et sur le moment, j'ai été (A24) ... parce que j'ai pensé qu'il allait me dire de moins téléphoner et de mieux (A25) .... Ce n'était pas cela du tout. Il me (m') (A26) ... qu'il allait me parler d'un projet. Il voulait seulement avoir mon (A27) ... sur la question. Il avait l'intention d'installer un bureau à Paris qui traiterait ses affaires sur place, et directement, avec les grandes compagnies. Il (A28) ... savoir si j'étais disposé à y aller. Cela me permettrait de vivre à Paris et de voyager une partie de l'année. «Vous (A29) ... jeune, et il me semble que c'est une vie qui doit vous (A30) ... ». J'ai dit que oui mais que dans le fond cela me (m') (A31) ... égal. Il a eu l'air (A32) ...: il m'a dit que je répondais toujours à côté, que je n'avais pas d'ambition et que cela était désastreux dans les affaires.

Peu après, le patron me (m') (A23) ... appeler et sur le moment, j'ai été (A24) ... parce que j'ai pensé qu'il allait me dire de moins téléphoner et de mieux (A25) .... Ce n'était pas cela du tout. Il me (m') (A26) ... qu'il allait me parler d'un projet. Il voulait seulement avoir mon (A27) ... sur la question. Il avait l'intention d'installer un bureau à Paris qui traiterait ses affaires sur place, et directement, avec les grandes compagnies. Il (A28) ... savoir si j'étais disposé à y aller. Cela me permettrait de vivre à Paris et de voyager une partie de l'année. «Vous (A29) ... jeune, et il me semble que c'est une vie qui doit vous (A30) ... ». J'ai dit que oui mais que dans le fond cela me (m') (A31) ... égal. Il a eu l'air (A32) ...: il m'a dit que je répondais toujours à côté, que je n'avais pas d'ambition et que cela était désastreux dans les affaires.

I. Un journaliste du Français dans le monde a posé quelques questions à Charles Bremner, correspondant du Times en France. Celui-ci parle des représentations qui modèlent aujourd'hui l'image de la France et de sa capitale: «Au moment du choix de la ville olympique pour 2012 où Londres a été préféré à Paris, j'étais sur la place de l'Hôtel de Ville où avait été installé un écran géant. Les Français ont éprouvé une grande déception, un sentiment d'incompréhension car ils n'étaient pas préparés à la défaite. Tous les journaux français écrivaient que ce serait Paris, sans aucun esprit critique. Les Parisiens avaient pris leurs désirs pour des réalités. Moi-même, j'avais été emporté par l'idée que Paris ne pouvait pas perdre. Cune des plus belles villes du monde qui disposait déjà d'une infrastructure importante, présentait un dossier solide alors que le projet londonien coûtait quatre fois plus cher. Le dossier parisien était idéal, parfait, mais la candidature était moins bien préparée.

II. La France apparaît comme un peu figée dans le passé, inquiète face à l'avenir. La France est très avancée dans certains domaines, mais depuis quelques décennies, elle donne une impression de déclin surtout à cause elu chômage; ce sentiment est multiplié par une attitude défensive, à l'inverse d'un sentiment de toute puissance éprouvée actuellement par l'Angleterre et surtout par l'Amérique.

III. La première fois que je suis venu à Paris, c'était en 1969—70. Paris, c'était encore la vieille France, avec ses vieilles boutiques, les cigarettes Gauloises, les voitures complètement différentes de celles des autres pays. Laville est devenue beaucoup plus moderne, mais elle a gardé une homogénéité que Londres a perdue. Londres a été bombardé et à moitié détruit pendant la guerre, et la reconstruction des années 1960—70 a créé beaucoup de désastres architecturaux. Mais c'est une ville qui bouge, tandis que Paris est un peu figé.

IV. Londres est extrêmement cher. Les prix y sont de 40% environ plus élevés qu'à Paris. Cela tient au fait que la ville attire beaucoup d'étrangers riches et pauvres, parce qu'il est beaucoup plus facile de trotiver du travail en Angleterre qu'en France. Mais Paris redevient plus attractif pour des investisseurs étrangers. Beaucoup de sociétés étrangères s'installent en région parisienne et investissent dans l'économie française.

V. Malgré la concurrence italienne et anglaise, c'est Paris qui domine, grâce à la haute couture et aux grandes marques. La France représente toujours tout ce qui est èhic. Il y a un charme évident gui frappe immédiatement celui qui vient pour la première fois. Paris, c'est une image, c'est la beauté, c'est l'art de vivre. Pour l'agrément de la vie, Paris est sans rival!»

I. Un journaliste du Français dans le monde a posé quelques questions à Charles Bremner, correspondant du Times en France. Celui-ci parle des représentations qui modèlent aujourd'hui l'image de la France et de sa capitale: «Au moment du choix de la ville olympique pour 2012 où Londres a été préféré à Paris, j'étais sur la place de l'Hôtel de Ville où avait été installé un écran géant. Les Français ont éprouvé une grande déception, un sentiment d'incompréhension car ils n'étaient pas préparés à la défaite. Tous les journaux français écrivaient que ce serait Paris, sans aucun esprit critique. Les Parisiens avaient pris leurs désirs pour des réalités. Moi-même, j'avais été emporté par l'idée que Paris ne pouvait pas perdre. Cune des plus belles villes du monde qui disposait déjà d'une infrastructure importante, présentait un dossier solide alors que le projet londonien coûtait quatre fois plus cher. Le dossier parisien était idéal, parfait, mais la candidature était moins bien préparée.

II. La France apparaît comme un peu figée dans le passé, inquiète face à l'avenir. La France est très avancée dans certains domaines, mais depuis quelques décennies, elle donne une impression de déclin surtout à cause elu chômage; ce sentiment est multiplié par une attitude défensive, à l'inverse d'un sentiment de toute puissance éprouvée actuellement par l'Angleterre et surtout par l'Amérique.

III. La première fois que je suis venu à Paris, c'était en 1969—70. Paris, c'était encore la vieille France, avec ses vieilles boutiques, les cigarettes Gauloises, les voitures complètement différentes de celles des autres pays. Laville est devenue beaucoup plus moderne, mais elle a gardé une homogénéité que Londres a perdue. Londres a été bombardé et à moitié détruit pendant la guerre, et la reconstruction des années 1960—70 a créé beaucoup de désastres architecturaux. Mais c'est une ville qui bouge, tandis que Paris est un peu figé.

IV. Londres est extrêmement cher. Les prix y sont de 40% environ plus élevés qu'à Paris. Cela tient au fait que la ville attire beaucoup d'étrangers riches et pauvres, parce qu'il est beaucoup plus facile de trotiver du travail en Angleterre qu'en France. Mais Paris redevient plus attractif pour des investisseurs étrangers. Beaucoup de sociétés étrangères s'installent en région parisienne et investissent dans l'économie française.

V. Malgré la concurrence italienne et anglaise, c'est Paris qui domine, grâce à la haute couture et aux grandes marques. La France représente toujours tout ce qui est èhic. Il y a un charme évident gui frappe immédiatement celui qui vient pour la première fois. Paris, c'est une image, c'est la beauté, c'est l'art de vivre. Pour l'agrément de la vie, Paris est sans rival!»

I. Un journaliste du Français dans le monde a posé quelques questions à Charles Bremner, correspondant du Times en France. Celui-ci parle des représentations qui modèlent aujourd'hui l'image de la France et de sa capitale: «Au moment du choix de la ville olympique pour 2012 où Londres a été préféré à Paris, j'étais sur la place de l'Hôtel de Ville où avait été installé un écran géant. Les Français ont éprouvé une grande déception, un sentiment d'incompréhension car ils n'étaient pas préparés à la défaite. Tous les journaux français écrivaient que ce serait Paris, sans aucun esprit critique. Les Parisiens avaient pris leurs désirs pour des réalités. Moi-même, j'avais été emporté par l'idée que Paris ne pouvait pas perdre. Cune des plus belles villes du monde qui disposait déjà d'une infrastructure importante, présentait un dossier solide alors que le projet londonien coûtait quatre fois plus cher. Le dossier parisien était idéal, parfait, mais la candidature était moins bien préparée.

II. La France apparaît comme un peu figée dans le passé, inquiète face à l'avenir. La France est très avancée dans certains domaines, mais depuis quelques décennies, elle donne une impression de déclin surtout à cause elu chômage; ce sentiment est multiplié par une attitude défensive, à l'inverse d'un sentiment de toute puissance éprouvée actuellement par l'Angleterre et surtout par l'Amérique.

III. La première fois que je suis venu à Paris, c'était en 1969—70. Paris, c'était encore la vieille France, avec ses vieilles boutiques, les cigarettes Gauloises, les voitures complètement différentes de celles des autres pays. Laville est devenue beaucoup plus moderne, mais elle a gardé une homogénéité que Londres a perdue. Londres a été bombardé et à moitié détruit pendant la guerre, et la reconstruction des années 1960—70 a créé beaucoup de désastres architecturaux. Mais c'est une ville qui bouge, tandis que Paris est un peu figé.

IV. Londres est extrêmement cher. Les prix y sont de 40% environ plus élevés qu'à Paris. Cela tient au fait que la ville attire beaucoup d'étrangers riches et pauvres, parce qu'il est beaucoup plus facile de trotiver du travail en Angleterre qu'en France. Mais Paris redevient plus attractif pour des investisseurs étrangers. Beaucoup de sociétés étrangères s'installent en région parisienne et investissent dans l'économie française.

V. Malgré la concurrence italienne et anglaise, c'est Paris qui domine, grâce à la haute couture et aux grandes marques. La France représente toujours tout ce qui est èhic. Il y a un charme évident gui frappe immédiatement celui qui vient pour la première fois. Paris, c'est une image, c'est la beauté, c'est l'art de vivre. Pour l'agrément de la vie, Paris est sans rival!»

I. Un journaliste du Français dans le monde a posé quelques questions à Charles Bremner, correspondant du Times en France. Celui-ci parle des représentations qui modèlent aujourd'hui l'image de la France et de sa capitale: «Au moment du choix de la ville olympique pour 2012 où Londres a été préféré à Paris, j'étais sur la place de l'Hôtel de Ville où avait été installé un écran géant. Les Français ont éprouvé une grande déception, un sentiment d'incompréhension car ils n'étaient pas préparés à la défaite. Tous les journaux français écrivaient que ce serait Paris, sans aucun esprit critique. Les Parisiens avaient pris leurs désirs pour des réalités. Moi-même, j'avais été emporté par l'idée que Paris ne pouvait pas perdre. Cune des plus belles villes du monde qui disposait déjà d'une infrastructure importante, présentait un dossier solide alors que le projet londonien coûtait quatre fois plus cher. Le dossier parisien était idéal, parfait, mais la candidature était moins bien préparée.

II. La France apparaît comme un peu figée dans le passé, inquiète face à l'avenir. La France est très avancée dans certains domaines, mais depuis quelques décennies, elle donne une impression de déclin surtout à cause elu chômage; ce sentiment est multiplié par une attitude défensive, à l'inverse d'un sentiment de toute puissance éprouvée actuellement par l'Angleterre et surtout par l'Amérique.

III. La première fois que je suis venu à Paris, c'était en 1969—70. Paris, c'était encore la vieille France, avec ses vieilles boutiques, les cigarettes Gauloises, les voitures complètement différentes de celles des autres pays. Laville est devenue beaucoup plus moderne, mais elle a gardé une homogénéité que Londres a perdue. Londres a été bombardé et à moitié détruit pendant la guerre, et la reconstruction des années 1960—70 a créé beaucoup de désastres architecturaux. Mais c'est une ville qui bouge, tandis que Paris est un peu figé.

IV. Londres est extrêmement cher. Les prix y sont de 40% environ plus élevés qu'à Paris. Cela tient au fait que la ville attire beaucoup d'étrangers riches et pauvres, parce qu'il est beaucoup plus facile de trotiver du travail en Angleterre qu'en France. Mais Paris redevient plus attractif pour des investisseurs étrangers. Beaucoup de sociétés étrangères s'installent en région parisienne et investissent dans l'économie française.

V. Malgré la concurrence italienne et anglaise, c'est Paris qui domine, grâce à la haute couture et aux grandes marques. La France représente toujours tout ce qui est èhic. Il y a un charme évident gui frappe immédiatement celui qui vient pour la première fois. Paris, c'est une image, c'est la beauté, c'est l'art de vivre. Pour l'agrément de la vie, Paris est sans rival!»

I. Un journaliste du Français dans le monde a posé quelques questions à Charles Bremner, correspondant du Times en France. Celui-ci parle des représentations qui modèlent aujourd'hui l'image de la France et de sa capitale: «Au moment du choix de la ville olympique pour 2012 où Londres a été préféré à Paris, j'étais sur la place de l'Hôtel de Ville où avait été installé un écran géant. Les Français ont éprouvé une grande déception, un sentiment d'incompréhension car ils n'étaient pas préparés à la défaite. Tous les journaux français écrivaient que ce serait Paris, sans aucun esprit critique. Les Parisiens avaient pris leurs désirs pour des réalités. Moi-même, j'avais été emporté par l'idée que Paris ne pouvait pas perdre. Cune des plus belles villes du monde qui disposait déjà d'une infrastructure importante, présentait un dossier solide alors que le projet londonien coûtait quatre fois plus cher. Le dossier parisien était idéal, parfait, mais la candidature était moins bien préparée.

II. La France apparaît comme un peu figée dans le passé, inquiète face à l'avenir. La France est très avancée dans certains domaines, mais depuis quelques décennies, elle donne une impression de déclin surtout à cause elu chômage; ce sentiment est multiplié par une attitude défensive, à l'inverse d'un sentiment de toute puissance éprouvée actuellement par l'Angleterre et surtout par l'Amérique.

III. La première fois que je suis venu à Paris, c'était en 1969—70. Paris, c'était encore la vieille France, avec ses vieilles boutiques, les cigarettes Gauloises, les voitures complètement différentes de celles des autres pays. Laville est devenue beaucoup plus moderne, mais elle a gardé une homogénéité que Londres a perdue. Londres a été bombardé et à moitié détruit pendant la guerre, et la reconstruction des années 1960—70 a créé beaucoup de désastres architecturaux. Mais c'est une ville qui bouge, tandis que Paris est un peu figé.

IV. Londres est extrêmement cher. Les prix y sont de 40% environ plus élevés qu'à Paris. Cela tient au fait que la ville attire beaucoup d'étrangers riches et pauvres, parce qu'il est beaucoup plus facile de trotiver du travail en Angleterre qu'en France. Mais Paris redevient plus attractif pour des investisseurs étrangers. Beaucoup de sociétés étrangères s'installent en région parisienne et investissent dans l'économie française.

V. Malgré la concurrence italienne et anglaise, c'est Paris qui domine, grâce à la haute couture et aux grandes marques. La France représente toujours tout ce qui est èhic. Il y a un charme évident gui frappe immédiatement celui qui vient pour la première fois. Paris, c'est une image, c'est la beauté, c'est l'art de vivre. Pour l'agrément de la vie, Paris est sans rival!»

I. Un journaliste du Français dans le monde a posé quelques questions à Charles Bremner, correspondant du Times en France. Celui-ci parle des représentations qui modèlent aujourd'hui l'image de la France et de sa capitale: «Au moment du choix de la ville olympique pour 2012 où Londres a été préféré à Paris, j'étais sur la place de l'Hôtel de Ville où avait été installé un écran géant. Les Français ont éprouvé une grande déception, un sentiment d'incompréhension car ils n'étaient pas préparés à la défaite. Tous les journaux français écrivaient que ce serait Paris, sans aucun esprit critique. Les Parisiens avaient pris leurs désirs pour des réalités. Moi-même, j'avais été emporté par l'idée que Paris ne pouvait pas perdre. Cune des plus belles villes du monde qui disposait déjà d'une infrastructure importante, présentait un dossier solide alors que le projet londonien coûtait quatre fois plus cher. Le dossier parisien était idéal, parfait, mais la candidature était moins bien préparée.

II. La France apparaît comme un peu figée dans le passé, inquiète face à l'avenir. La France est très avancée dans certains domaines, mais depuis quelques décennies, elle donne une impression de déclin surtout à cause elu chômage; ce sentiment est multiplié par une attitude défensive, à l'inverse d'un sentiment de toute puissance éprouvée actuellement par l'Angleterre et surtout par l'Amérique.

III. La première fois que je suis venu à Paris, c'était en 1969—70. Paris, c'était encore la vieille France, avec ses vieilles boutiques, les cigarettes Gauloises, les voitures complètement différentes de celles des autres pays. Laville est devenue beaucoup plus moderne, mais elle a gardé une homogénéité que Londres a perdue. Londres a été bombardé et à moitié détruit pendant la guerre, et la reconstruction des années 1960—70 a créé beaucoup de désastres architecturaux. Mais c'est une ville qui bouge, tandis que Paris est un peu figé.

IV. Londres est extrêmement cher. Les prix y sont de 40% environ plus élevés qu'à Paris. Cela tient au fait que la ville attire beaucoup d'étrangers riches et pauvres, parce qu'il est beaucoup plus facile de trotiver du travail en Angleterre qu'en France. Mais Paris redevient plus attractif pour des investisseurs étrangers. Beaucoup de sociétés étrangères s'installent en région parisienne et investissent dans l'économie française.

V. Malgré la concurrence italienne et anglaise, c'est Paris qui domine, grâce à la haute couture et aux grandes marques. La France représente toujours tout ce qui est èhic. Il y a un charme évident gui frappe immédiatement celui qui vient pour la première fois. Paris, c'est une image, c'est la beauté, c'est l'art de vivre. Pour l'agrément de la vie, Paris est sans rival!»

I. Un journaliste du Français dans le monde a posé quelques questions à Charles Bremner, correspondant du Times en France. Celui-ci parle des représentations qui modèlent aujourd'hui l'image de la France et de sa capitale: «Au moment du choix de la ville olympique pour 2012 où Londres a été préféré à Paris, j'étais sur la place de l'Hôtel de Ville où avait été installé un écran géant. Les Français ont éprouvé une grande déception, un sentiment d'incompréhension car ils n'étaient pas préparés à la défaite. Tous les journaux français écrivaient que ce serait Paris, sans aucun esprit critique. Les Parisiens avaient pris leurs désirs pour des réalités. Moi-même, j'avais été emporté par l'idée que Paris ne pouvait pas perdre. Cune des plus belles villes du monde qui disposait déjà d'une infrastructure importante, présentait un dossier solide alors que le projet londonien coûtait quatre fois plus cher. Le dossier parisien était idéal, parfait, mais la candidature était moins bien préparée.

II. La France apparaît comme un peu figée dans le passé, inquiète face à l'avenir. La France est très avancée dans certains domaines, mais depuis quelques décennies, elle donne une impression de déclin surtout à cause elu chômage; ce sentiment est multiplié par une attitude défensive, à l'inverse d'un sentiment de toute puissance éprouvée actuellement par l'Angleterre et surtout par l'Amérique.

III. La première fois que je suis venu à Paris, c'était en 1969—70. Paris, c'était encore la vieille France, avec ses vieilles boutiques, les cigarettes Gauloises, les voitures complètement différentes de celles des autres pays. Laville est devenue beaucoup plus moderne, mais elle a gardé une homogénéité que Londres a perdue. Londres a été bombardé et à moitié détruit pendant la guerre, et la reconstruction des années 1960—70 a créé beaucoup de désastres architecturaux. Mais c'est une ville qui bouge, tandis que Paris est un peu figé.

IV. Londres est extrêmement cher. Les prix y sont de 40% environ plus élevés qu'à Paris. Cela tient au fait que la ville attire beaucoup d'étrangers riches et pauvres, parce qu'il est beaucoup plus facile de trotiver du travail en Angleterre qu'en France. Mais Paris redevient plus attractif pour des investisseurs étrangers. Beaucoup de sociétés étrangères s'installent en région parisienne et investissent dans l'économie française.

V. Malgré la concurrence italienne et anglaise, c'est Paris qui domine, grâce à la haute couture et aux grandes marques. La France représente toujours tout ce qui est èhic. Il y a un charme évident gui frappe immédiatement celui qui vient pour la première fois. Paris, c'est une image, c'est la beauté, c'est l'art de vivre. Pour l'agrément de la vie, Paris est sans rival!»

A46. En attaque, Paule Baudouin, impeccable sur l'aile gauche, a donné l'exemple, avant que Lacrabère, fidèle à ce qu'elle montre depuis le début du tournoi, ne décide de prendre les choses en mains, avec quatre buts en autant de minutes pour porter la France en tête à la pause (14—12). Mais les Danoises ont commencé à s'adapter au jeu français très axé sur Lacrabère, pour revenir (21—19, 46).

A47. L'organe international (Conseil des droits de l'homme) s'est réuni pour un «débat urgent» sur l'aggravation de la situation en Sylie, où plus de 7600 personnes ont été tuées depuis mars 2011. Le Conseil tente ainsi d'accroître la pression sur Bachar al-Assad, appelant le régime à faciliter le travail des humanitaires.

A48. L'incidence des cas de syndromes grippaux a dépassé le seuil épidémique au cours de la semaine du 19 au 25 mars. Selon le dernier bulletin du réseau Sentinelles «Le niveau d'activité des syndromes grippaux devrait continuer d'aùgmenter la semaine prochaine et confirmer ainsi l'arrivée de l'épidémie».

A46. En attaque, Paule Baudouin, impeccable sur l'aile gauche, a donné l'exemple, avant que Lacrabère, fidèle à ce qu'elle montre depuis le début du tournoi, ne décide de prendre les choses en mains, avec quatre buts en autant de minutes pour porter la France en tête à la pause (14—12). Mais les Danoises ont commencé à s'adapter au jeu français très axé sur Lacrabère, pour revenir (21—19, 46).

A47. L'organe international (Conseil des droits de l'homme) s'est réuni pour un «débat urgent» sur l'aggravation de la situation en Sylie, où plus de 7600 personnes ont été tuées depuis mars 2011. Le Conseil tente ainsi d'accroître la pression sur Bachar al-Assad, appelant le régime à faciliter le travail des humanitaires.

A48. L'incidence des cas de syndromes grippaux a dépassé le seuil épidémique au cours de la semaine du 19 au 25 mars. Selon le dernier bulletin du réseau Sentinelles «Le niveau d'activité des syndromes grippaux devrait continuer d'aùgmenter la semaine prochaine et confirmer ainsi l'arrivée de l'épidémie».

A46. En attaque, Paule Baudouin, impeccable sur l'aile gauche, a donné l'exemple, avant que Lacrabère, fidèle à ce qu'elle montre depuis le début du tournoi, ne décide de prendre les choses en mains, avec quatre buts en autant de minutes pour porter la France en tête à la pause (14—12). Mais les Danoises ont commencé à s'adapter au jeu français très axé sur Lacrabère, pour revenir (21—19, 46).

A47. L'organe international (Conseil des droits de l'homme) s'est réuni pour un «débat urgent» sur l'aggravation de la situation en Sylie, où plus de 7600 personnes ont été tuées depuis mars 2011. Le Conseil tente ainsi d'accroître la pression sur Bachar al-Assad, appelant le régime à faciliter le travail des humanitaires.

A48. L'incidence des cas de syndromes grippaux a dépassé le seuil épidémique au cours de la semaine du 19 au 25 mars. Selon le dernier bulletin du réseau Sentinelles «Le niveau d'activité des syndromes grippaux devrait continuer d'aùgmenter la semaine prochaine et confirmer ainsi l'arrivée de l'épidémie».

Liberté, égalité, fraternité. Sur ce troisième mot de la devise de la République française repose l'idée que (B3) ... personne, quelle qu'elle soit, doit bénéficier de droits (B4) ...: la santé, le logement, la nourriture, les vêtements. Pour des personnes (B5) ... insérées dans le système social, les différentes branches de la Sécurité sociale obligatoire (assurances maladie, chômage, vieillesse, aide aux familles, au logement) permettent de faire face aux coups (B6) ... de la vie. Mais de nombreuses personnes sont exclues de ce système. Pour eux, l'Etat, les collectivités locales et plusieurs associations (B7) ... en place des organismes d'aide. Dans le domaine de la santé, la coùverture maladie universelle (CMU) permet de bénéficier de soins gratuits. Pourleur vie quotidienne, les personnes en difficulté (B8) ... disposer dedifférentes prestations gratuites: bains-douches, produits alimentaires et restaurants, billets de spectacle et (B9) ... à des salles de sport. Un problème demeure néanmoins: le logement. La protection des locataires incapables de payer leur (B10) ... a été renforcée. Il existe des centres d'hébergement pour les sans-abri mais ces (B11) ... hésitent à les fréquenter car beaucoup ne s'y (B12) ... pas en sécurité.

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